Après la massive triple conjonction Jupiter-Saturne-Pluton en Capricorne ayant marqué le passage de l’année 2020, c’est une autre configuration planétaire qui prend cette fois le relais pour cette année 2021 : Saturne au carré d’Uranus ! Avec ces deux entités ayant une symbolique aux antipodes l’une de l’autre, que nous réserve le choc de ces deux titans ? Les fissures dans les murs de la matrice vont-elles la faire s’effondrer, va-t-on voyager dans le temps ou va-t-on vivre les débuts d’une surveillance numérique intégrale pré-annonçant la fin de la liberté ? Éléments d’hypothèse dans la suite de cet article !
Sommaire :
- Le Sablier déboussolé
- Au gré du vent politico-sanitaire
- Renversement et mise à jour civilisationnelle
- L‘avenir pris en otage
- Le choc des cultures
- Le monde d’après comme nouvelle norme
- Et le maquis de la résistance prit forme
Le Sablier déboussolé
On l’entend tous si l’on écoute notre pouls. La cloche temporelle, le tic-tac quantique, l’horloge cosmique, semble un peu comme en suspension, parfois au ralenti et d’autres fois complètement agitée. C’est que Saturne l’Ancien, depuis son changement de posture passant du Capricorne au Verseau, croise la route du perturbant Uranus le Prométhéen. On sait que la vie est un perpétuel flux et reflux de « forces progressistes » (symbolisées par Uranus) et de « forces plus conservatrices » (symbolisées par Saturne) permettant une évolution spiralée. En ce moment même, ce mouvement est en train de « gripper » car il devient plus intense : entre Saturne et Uranus, ça coince. Parfois même, ça gèle. Exactement comme les épisodes de froid du mois de février aux États-Unis où certains États ont vu leurs parcs éoliens geler occasionnant des pannes électriques importantes !
Oui, on ne l’oublie pas : Uranus est toujours en Taureau et peut concerner les énergies renouvelables, notamment celles en lien avec « l’air », tandis que Saturne en Verseau peut indiquer une certaine poisse avec les « affiliations élémentales » de ce signe comme l’électricité. D’ailleurs, c’est bien durant le pic de ce transit de Saturne au carré d’Uranus qu’ont eu lieu des discussions très tendues entre l‘UE et Paris au sujet du démantèlement d‘EDF, que c’était le jour du bilan au Japon pour les 10 ans de Fukushima (et que ce jour relança un certain nombre d’inquiétudes sur le dossier du nucléaire), qu’il y a eu d’énormes pannes sur le réseau du groupe Facebook, que les data centers d‘OVH à Strasbourg sont partis en fumée mettant 3,7 millions de sites hors ligne, qu’une pièce géante de moteur en métal d’un avion a atterri dans le jardin d’une habitation de Broomfield, dans le Colorado, et j’en passe ! Toutefois, si la tension entre Saturne et Uranus peut effectivement se traduire par une explosion à l’atterrissage d’un prototype Starship de SpaceX ou encore générer chez un Elon Musk la vision d’un véritable Jurassik Park, mieux « régulée » cette tension peut aussi permettre de nouvelles percées technologiques, de nouvelles conquêtes sur de nouveaux territoires et de nouvelles interactions, toujours plus étroites, entre le réel et le virtuel. Qui n’a pas vu le robot-mascotte Perseverance (mot très saturnien !) nouvellement arrivé sur Mars, la flambée du Bitcoin (et plus tard sa dégringolade) ou encore ces chèvres qui s’invitent à vos réunions « Zoom » pour 5 dollars !
Ma digression étant faite, revenons néanmoins au cœur de la danse arythmique de notre duo : Saturne préfère ralentir ses pas alors qu’Uranus a plutôt un penchant pour les accélérer. De la sorte, l’aiguille de la montre du temps ne sait alors plus où donner de la tête : elle saccade, elle devient frénétique, elle s’agite, elle s’immobilise, elle se désynchronise, elle est au bord de l’implosion ! Le sablier du temps est retourné dans tous les sens, il est sens dessus dessous ! Toutefois, comme à chaque fois, l’aiguille retrouvera plus tard son rythme. Et le cours du temps reprendra sa voie bien que dans cet entre-temps un peu chaotique, le conflit archétypal Saturne\Uranus nous aura finalement aidés (ou forcé la main pour certains) à opérer un « virage » dans notre spirale évolutive\involutive. En revanche, ce que l’on ne sait pas encore pour le moment, c’est dans quelle direction ira le sens de cette courbure spatio-temporelle. Mais vous allez me rétorquer « concrètement, d’un point de vue collectif, cela donne quoi ? »
Au gré du vent politico-sanitaire
Dans le contexte actuel, cela donne la désynchronisation complète entre les velléités totalitaires de la matrice mondiale pour soi-disant sauver la planète d’une pandémie meurtrière et les aspirations d’une certaine partie des peuples à retrouver leur liberté saccagée (Uranus) par des mesures techno-sanitaires draconiennes (Saturne) injustifiées par rapport à la menace réelle du virus. C’est ce glissement dictatorial sous prétexte de sécurité sanitaire (Saturne), mais détruisant dramatiquement tout le tissu socio-économique, qui accentue potentiellement les élans émancipateurs des peuples ainsi que leur inévitable colère (Uranus). Et c’est bien cette confrontation et cet entrechoc qui est à la source des avancées (Uranus) et des replis (Saturne) successifs politico-sanitaires de nos gouvernements. Face aux injonctions prioritaires de « Big Pharma » et les possibilités d’une hémorragie de révolte, ils sont la plupart du temps obligés de ménager la chèvre et le chou, d’où des restrictions sociales (Saturne) sans cesse changeantes, imprévisibles et souvent incohérentes (Uranus). Oui je sais, c’est désagréable, bienvenue dans le royaume tiraillé de Saturne-Uranus ! Saturne représentant les freins, le cloisonnement, les règles tandis qu’Uranus symbolise les changements soudains, les imprévus, la libération.
Toutefois, pour mieux appréhender le process’ de ce transit faisant du yoyo avec nos nerfs, c’est très simple, il suffit juste d’observer la façon dont nos élites de la matrice techno-scientifique « jouent » la partition covidienne depuis quelques mois : elles appuient à tout va sur la touche « avance rapide« , avant de passer un court instant sur « pause » puis à tâtons sur « recul rapide », pour à nouveau passer en mode « avance rapide ». Et parfois, elles appuient un peu sur toutes les touches en même temps donnant lieu à une grande cacophonie générale ! Ça n’arrête pas (Saturne) de changer (Uranus) ! Il n’y a qu’à voir les différents exemples où un troisième confinement devait avoir lieu mais a finalement capoté pour malgré tout aboutir à des confinements lights et hybrides puis à des confinements plus étendus, mais qui n’en étaient en fait pas vraiment, ou encore un premier ministre qui conseille un vaccin qui est suspendu le jour même par le président puis de nouveau ré-autorisé… Des exemples comme ceux-ci, il y en a eu, et il y en a encore à la pelle, de Londres à Paris, de Washington à Berlin jusqu’au cœur de l’OMS elle-même ! Pour autant, ne nous y trompons guère : quelle que soit la façon dont tout cela se déroule, la partition est toujours jouée. Nos dirigeants aboutissent malgré tout souvent à réaliser leur plan de départ en s’octroyant au passage le luxe de micro-manager leur pays avec une ingénierie sociale en « aller-retour » ! A ce compte-là, les fumeuses « vagues épidémiques » auront le droit à leur éternel retour (Uranus) afin de justifier encore et toujours des mesures sanitaires permanentes (Saturne). Même la promesse vaccinale participe à cette danse puisque les pays (par exemple le Chili) qui ont le plus vacciné n’empêchent pas l’application de certaines mesures. Au contraire, les pays ayant eu très peu de cas COVID ont vu leur nombre de cas augmenter suite à la vaccination de leur population, donnant lieu à des confinements qu’il n’y avait parfois jamais eu auparavant chez eux ! La prouesse maligne du serpent qui se mord la queue est donc bien rodée et sera servie à toutes les sauces !
Ainsi, même si nos gouvernements semblent parfois lâcher du mou et avancer leurs pions de manière beaucoup plus feutrée, ils reculent toujours (Saturne) pour mieux sauter ensuite (Uranus) ! Dans le plus pur style du carré Saturne-Uranus, ils nous « redonnent » nos libertés volées qu’à la seule condition que l’on accepte systématiquement de nouvelles contraintes et en définitive de nouvelles chaînes ! L’exemple prochain ? La réouverture de tout ce qui était fermé seulement pour ceux et celles ayant validé leur « pass’ sanitaire » accolé au fait d’être testé négatif ou d’avoir été vacciné. A moins qu’il n’y ait encore des revirements de situation en la matière !
Il y a déjà eu des réactions inattendues de la part des États-Unis, d‘Israël et de l’Angleterre puisque ceux-ci ont refusé l’imposition d’un pass sanitaire sur leur sol. Les volte-face diverses et variées sont notre lot quotidien pour cette année 2021. Il n’y a qu’à voir récemment le retour d’une ancienne et tenace théorie sur l’origine de la COVID-19 (qui ne serait pas naturelle mais qui aurait été fabriquée par le laboratoire Wuhan en Chine et financée par le ministre de la santé américain, le Dr A. Fauci) venant percuter l’establishment US ou encore la survenue d’audits électoraux dans certains états américains remettant en lumière la perspective qu’il y ait bel et bien eu une véritable et massive fraude électorale présidentielle au USA en 2020. Vu comme les Démocrates s’agitent pour empêcher ces audits, on sent bien que ces divulgations seraient pour eux un boomerang explosif qui mèneraient l’Amérique dans une situation instable et inédite ! Saturne et Uranus sont donc bien dans un étonnant et constant va-et-vient où pour le moment rien n’est jamais vraiment figé malgré des apparences cristallisées. Avec eux, les révélations surprises (Uranus) sont de rigueur (Saturne) bien qu’elles ne soient finalement que des informations confirmées à rebours et différées dans le temps (Saturne).
Renversement et mise à jour civilisationnelle
Si Saturne et Uranus ont des rythmes bien différents, ils ont également des croyances, des idées, des philosophies complètement divergentes voire purement et simplement opposées. L’un est tourné vers le passé (Saturne), l’autre vers le futur (Uranus). L’un s’associe volontiers à la tradition « inamovible » de ses ancêtres (Saturne), l’autre ne voit que par les promesses d’utopies nouvelles (Uranus). L’un s’inscrit dans le pur classicisme (Saturne), l’autre dans l’ivresse originale du modernisme (Uranus). Ainsi, si nous observons les idéologies les plus persistantes ayant cours en ce moment sur notre planète, il me semble qu’une ligne de rupture devient de plus en plus nette avec des tendances se démarquant globalement entre une ligue validant à peu près toutes les doctrines de la sphère « mondialiste néolibérale\progressiste » (Uranus) versus une ligue davantage « souverainiste\conservatrice » (Saturne). L’exemple le plus flagrant de cette polarisation est devenu justement particulièrement visible de l’autre côté de l’Atlantique durant la bataille des dernières élections présidentielles US opposant Donald Trump à Joe Biden. L’événement du Capitole le 6 janvier 2021 en a d’ailleurs montré toute la teneur. Oui, ensemble Saturne et Uranus ne font pas forcément dans la dentelle. Avec eux, il est bien souvent question de changement de pouvoir radical par rapport au précédent bien qu’avec ce type de transit un pouvoir renversé peut à tout moment revenir sur le devant de la scène !
Quoi qu’il en soit, entre une Amérique provinciale, ouvrière, agricole, centrée sur des traditions, au fort patriotisme, généralement délaissée voire méprisée par la classe dirigeante libérale mais fief d’une branche du parti Républicain (Saturne) et une Amérique des mégalopoles côtières, très urbanisées, modernes, « branchées », avant-gardistes, surpeuplées, communautarisées à l’excès, centres régaliens de la promulgation des valeurs de l’état profond, pro-immigrationniste et refuges territoriaux Démocrate (Uranus), c’est le grand froid, la déchirure, le fossé ! Il n’y a qu’à voir encore aujourd’hui comment les positions sur les armes à feu, l’avortement, l’écologie et autres se durcissent des deux côtés de l’échiquier politique. Même sur la question sanitaire, l’Amérique est comme coupée en deux avec des états très restrictifs (Saturne) et des états plus libertaires (Uranus). Évidement, depuis la « victoire » de la mouvance démocrate à la présidence, tous les fronts progressistes avancent en bloc (Uranus) pour supprimer le passé présidentiel trumpiste (Saturne) tout en allant beaucoup plus loin dans la déstructuration des valeurs traditionnelles d’une certaine Amérique et l’accélération de leur propre ligne politique (Uranus). Dorénavant, les opposants légitimes des Démocrates sont traités comme des « terroristes locaux » à expurger coûte que coûte tandis que les violences de mouvement comme BLM (Black Lives Matter) ont depuis des mois la faveur des médias alignés. Les communautés noires et LGBT servent de paravent aux Déms pour promouvoir le « wokisme » et la « cancel culture » afin d’affaiblir l’Amérique de l’intérieur en faisant de l’hétérosexuel blanc le seul et véritable ennemi à abattre. La discrimination s’inverse via des subventions massives de l’État pour les minorités au détriment des catégories majoritaires (pour exemple, 50 % du budget pour l’agriculture sera pour les 10 % de Noirs composant la filière). Les frontières mexicaines ré-ouvrent et génèrent une crise migratoire importante en faisant des appels d’air énormes aux cartels de trafiquants qui s’en frottent déjà les mains. Des paquets de milliers de milliards de dollars sont injectés dans l’économie créant de nouveau une inflation galopante. Le politiquement correct et la censure deviennent endémiques à tous les échelons de la société, de la grande entreprise au professeur d’université. A croire que tout est fait pour accentuer les divisions intérieures du pays dans l’optique de détruire progressivement la partie ne validant plus les nouvelles directives de la pensée dominante (Saturne carré Uranus). Cette année 2021 creuse et creusera encore pendant des mois ce sillon de multiples ruptures.
De manière plus générale, c’est d’ailleurs ce schisme idéologique, apparemment irréconciliable, qui s’étend aujourd’hui sur tout le globe avec en son cœur une tension thermonucléaire prête à exploser de toutes parts et source de réorganisations géopolitiques majeures, de guerres civiles, de coups d’états ou de conflits internationaux. Quand le décalage entre les visées idéologiques différentes de Saturne et d’Uranus devient trop pesant, c’est toujours la possibilité d’une « guerre des mondes » tectonique ! Qui n’est pas au courant de la résurgence du conflit israélo-palestinien, de la prise de pouvoir militaire en Birmanie et au Mali, de papy généraux faisant de la résistance en France, des velléités de conquête territoriale (et planétaire) de la Chine, des tensions entre l’Occident et la Russie, de cyberattaques informatiques massives à travers la planète et de je ne sais quoi d’autres comme événements significatifs sur la scène mondiale ?
Toutefois, exactement comme la chute d’un Joe Biden lors de sa montée à bord de Air Force One, la formation astrologique par carré entre Saturne et Uranus est particulièrement à l’œuvre dans les ascensions fulgurantes suivies de dégringolades vertigineuses, les abdications soudaines et les remontées spectaculaires, les fins abruptes de situations et l’émergence tout aussi rapide de nouvelles perspectives, les retours inattendus de vainqueurs déchus et les disparitions incompréhensibles de sommités intouchables, les twists d’anthologie et les faux-bonds impossibles, l’effondrement d’empires et le renouveau de puissances perdues. Si ce phénomène de « l’ascenseur de l’extrême » saturno-uranien est valable pour chacun d’entre nous, il l’est tout autant pour des institutions, des croyances, des utopies, des pays, des corporations, des monopoles économiques, une civilisation ou encore le monde tout entier ! Avec la friction de ce duo, les longues périodes de restrictions et de dissensions de cette année 2021 peuvent être accompagnées d’événements très surprenants et bousculant aussitôt un « ordre des choses », un statut-quo, une inertie. Avec lui, tout semble s’installer pour des siècles et des siècles sans que l’on puisse y faire quoi que soit (Saturne) mais tout peut aussi changer très très vite du jour au lendemain (Uranus) ! Malgré le pessimisme ambiant (Saturne), la potentialité de percées optimistes est toujours là (Uranus), tapie dans l’ombre. En réalité, elles ne demandent qu’à se libérer… bien qu’une fois libérées (Uranus), tout soit fait pour de nouveau les verrouiller (Saturne) !
L’avenir pris en otage
Bien sûr, nos élites les plus noires ont probablement déjà anticipé depuis longtemps les crises, les mutations et les désastres planétaires à venir puisqu’elles en sont souvent… à l’origine ! Elles savaient qu’inéluctablement la prospérité sur laquelle elles se sont bâties allait à un moment s’écrouler, c’est pourquoi elles sont à l’œuvre depuis des lustres afin d’opérer cette transition d’une manière où elles conserveront encore et toujours la mainmise sur un nouveau cycle de prospérité. Dans l’absolu, c’est fatalement avoir une conscience aiguë des processus typiques de Saturne au carré d’Uranus : c’est comment prévoir sa chute et sentir son échéance afin de mieux projeter ses stratégies de reconstructions futures. C’est aussi tout changer en apparence pour satisfaire les idéaux des « dominés » (Uranus) afin de ne rien changer dans le fond pour maintenir substantiellement le pouvoir des « dominants » (Saturne). Ainsi, pour les tenants de ce monde, contrôler cette prochaine et inéluctable phase descendante (Saturne), c’est d’ores et déjà contrôler la construction et la pérennité de leur monde de demain (Uranus).
Et puis nourrir les scénarios catastrophes (Saturne) pour faire swifter le monde (Uranus), ça paie aussi ! La taxe carbone, les vaccinations à vie, l’épopée spatiale ou encore toutes les techno-sciences (Saturne en Verseau) seront à la source de nouvelles mannes financières gargantuesques alors que le système capitalisme néo-libéral était sur le point d’imploser (Uranus en Taureau). Nos précepteurs du XXIième siécle n’auront donc aucun problème à bousculer voire détruire leurs propres modèles économiques, à bout de souffle, pour en imposer de nouveaux qui soient en phase avec leurs nouvelles façons de créer leur richesse : pensez aux propositions du « Great Reset » de Klaus Schwab (Président du Forum Économique Mondial de Davos), en passant par le greenwashing jusqu’aux cryptomonnaies numériques. Avec la COVID-19 comme marqueur, ils savent en tout cas qu’ils ont devant eux une belle fenêtre de temps pour « effacer » leur « monde d’avant » (Saturne) afin que l’on embarque dans leur « monde d’après » (Uranus).
D’après un Emmanuel Macron (disciple invétéré du Klaus Schwab cité plus tôt), il faudrait ainsi « déconstruire l’histoire » pour opérer cette permutation. Une permutation qui s’impose donc d’elle-même à leurs yeux durant cette période puisque le cycle Saturne-Uranus met justement le focus sur ce genre de passage critique : il est un interrupteur entre passé et avenir. Bien qu’en jouant trop souvent avec celui-ci, il puisse aussi casser à tout moment !
Le Verseau et son maître planétaire Uranus étant par ailleurs particulièrement impliqués dans ce « carré », la technologie est très souvent utilisée comme moyen de contrôle pour imposer la texture embryonnaire de ce fameux « nouveau monde ». Oui, oui, je parle bien toujours de celui promis par cette oligarchie dominante avec la bave aux lèvres et non celui plus gentillet des fanas de « l’ère du Verseau » ! Depuis un an et le début de l’ère covidienne, l’introduction de nouvelles mœurs via le « tout-virtuel » continue de faire des pas de géant : télétravail en masse, écrans remplaçant le public de shows événementiels, apéros par visioconférence, augmentation record de la « consommation numérique », percée spectaculaire des NFT, etc. Aujourd’hui, est-ce que l’injection dans nos corps et dans notre environnement de nouvelles technologies via les vaccins ARNm (thérapie génique expérimentale) ou le déploiement de la 5G (Uranus en Taureau) ne sont pas des manières de nous imposer et nous orienter vers « une nouvelle époque », « une nouvelle société », « une nouvelle humanité » (Saturne en Verseau) ? N’est-t-on pas en train de « réinitialiser » l’homme et la nature, ses pensées et ses valeurs, son patrimoine et ses ressources (Uranus en Taureau) de façon systématisée, institutionnalisée, quasi-obligatoire afin que l’humanité 2.0 soit plus docile, asservie et totalement soumise à la vision que nos élites ont pour ce monde de demain (Saturne en Verseau) ? Avec un peu de recul, comment ne pas se dire que nous sommes en permanence projetés à marche forcée dans un certain type de futur ?
Un futur, semble-t-il, où QR code, identité numérique, reconnaissance faciale, « passeport vert » et autres masques antiviraux se côtoient et pré-annoncent comme un teaser prophétique de film de science-fiction la dernière génération d’hommes et de femmes libres. Des hommes et des femmes libres ni plus ni moins en proie à l’avènement ultérieur des machines et à la scientificité divine d’Intelligences Artificielles totalitaires. Avec cette glaciale dyade Saturne-Uranus, n’est-ont pas en train de sacrifier notre libre-arbitre au règne des blouses blanches, des apprentis-sorciers, des mathématiciens, des « experts » ? N’est-on pas en train de détruire notre humanité en donnant nos corps à la science, notre pensée à la technologie et notre volonté à nos oppresseurs ? Ces questions se posent aujourd’hui car c’est aujourd’hui, en 2021, que nous pouvons dramatiquement basculer vers ce « futur » où la convergence bionumérique pose ses premiers et plus sûrs jalons pour devenir reine.
Le choc des cultures
Cependant, dans un mouvement antagoniste, Saturne est également un appel à canaliser l’énergie du Verseau tandis qu’Uranus est lui-même incité à ralentir sa frénésie par le signe dans lequel il est situé, le Taureau. D’où cet influx contraire, pour une partie de la population, à diminuer sa dépendance à la high-tech, à moins consommer, à devenir énergétiquement plus indépendant et… à faire en sorte que ses idéaux ne soient plus seulement des envolées lyriques ! Pour elle, c’est ainsi le parti pris de moins se laisser immerger par un océan numérique en perpétuelle évolution afin de retrouver ses sensations corporelles avec le Vivant. C’est le parti pris de moins accumuler tous ces produits « smart » (smartphone, smarthome, smartauto, smart ceci, smart cela) afin que ces assistants technologiques ne lui fassent pas perdre ses capacités humaines. C’est le parti pris de ne plus se laisser aspirer par l’obsolescence programmée ou la poursuite chimérique de l’augmentation de puissance par la dernière trouvaille techniquement révolutionnaire afin de pouvoir utiliser pleinement son cerveau quand il s’agit de faire avec ce que l’on a ou de « faire du neuf (Uranus) avec du vieux (Saturne) » . C’est enfin le parti pris d’une certaine forme de décroissance envers le superflu, la quantité, le virtuel, pour une abondance de créativité en concordance avec ce qui lui est essentiel. Ainsi, pendant que la tendance « progressiste » s’évertue à imposer son salut dans l’artificialisation complète du monde, la tendance « conservatrice » privilégie à l’inverse un retour à la terre, à l’artisanat local, à « l’ancien » (le vintage), aux matières durables, à la réémergence de traditions lointaines, à l’habitat naturel, au rassemblement de petites communautés autogérées, au développement de la « slowtech« , à la sauvegarde du patrimoine, à la ruralité, etc. (Uranus en Taureau-Saturne en Verseau). Quand l’assujettissement à un avenir prométhéen devient trop prononcé (Uranus), le refuge le plus sécurisant se trouve la plupart du temps et pour nombre d’entre nous dans les plis et replis du passé (Saturne). A l’évidence, la difficulté à changer est inhérente à la course Saturne-Uranus, surtout quand le changement annoncé se fait par la peur et n’est pas du tout rassurant !
Essentiellement, on pourrait alors soumettre l’idée que Saturne en Verseau est cette représentation symbolique de la technocratie froide, impersonnelle, cloisonnante, hygiéniste, alarmiste et que celle-ci est dans un rapport de force constant avec l’idéalisme d’un Uranus en Taureau porté par d’autres valeurs, « un autre monde » possible, un retour à une vie simple et au bon-vivre, un rappel aux joyeusetés des rusticités gourmandes et à la liberté de jouir de nos corps et de la nature. Si Saturne en Verseau tend à restreindre au maximum les échanges humains en y substituant des règles techno-sanitaires drastiques (masque, distanciation, couvre-feu, fermeture de commerce, interdiction de se rassembler…) Uranus en Taureau, lui, tend à la retrouvaille avec nos sens « terriens », au plaisir de partager ensemble les fruits de l’abondance, à cultiver une sorte de sagesse des Ents, à renouer en quelque sorte avec l’esprit de Gaïa. D’ailleurs, les restaurants, les bars, les terrasses, les endroits culturels et les commerces en général, lieux typiquement « taurin« , sont depuis des mois complètement bouleversés et impactés (Uranus en Taureau) par toutes les dures mesures technocratique anticovid-19 (Saturne en Verseau). A sa manière, le méga porte-conteneurs Evergreen bloquant le canal de Suez, qui est une des artères commerciales les plus importantes du monde pour le transport maritime de marchandises (12 % du trafic mondial), a été l’illustration parfaite de la joute entre Saturne et Uranus en Taureau !
Mais à l’inverse, Uranus en Taureau peut également représenter cette volonté de révolutionner à tous prix nos valeurs, nos modes de vie, nos cultures, nos corps, nos champs, notre économie, en vue d’imposer uniformément à tous une nouvelle idéologie mondialiste post-moderne qui se heurte à un Saturne en Verseau cherchant tant bien que mal à s’organiser pour offrir un front où l’humanité pourrait enfin bâtir librement sa souveraineté individuelle quelle que soit sa couleur de peau, sa religion, son sexe.
Nous le voyons encore très bien ici, Saturne en Verseau au carré d’Uranus en Taureau implique bien cette lutte plus profonde entre deux visions du monde radicalement opposées : l’une, promue et imposée de force par nos dirigeants, est la promesse d’un nouvel eugénisme transhumaniste dans un éden artificiel où seuls les bergers technocratiques et le « bétail robotique » auront droit de vivre, et de l’autre, une vision plus humaine, plus libre, plus « organique », plus solidaire, plus « enracinée » dans des valeurs traditionnelles et relié à la nature et aux cycles cosmiques. Dans les deux cas, l’avancée de ces deux idéaux sont comme en « slowmotion » (Saturne) bien que sous-tendue par le présage d’à-coups libérateurs (Uranus). La technocratie souhaitée par Saturne en Verseau pour mettre en branle la réalisation des agendas mondialistes d’Uranus en Taureau est souvent réfrénée par le mécontentement citoyen à ce type d’objectifs, tandis que la solidarité, l’entraide, la liberté, l’idéalisme de Saturne en Verseau pour réaliser l’autre « monde meilleur » d’Uranus en Taureau en prend aussi un sacré coup dans l’aile aux vues du programme qu’ont pour nous les architectes de la matrice ! Les flux énergétiques contradictoires de cette configuration astrologique vont donc dans les deux sens. Et c’est bien ce clivage que nous vivons tous aujourd’hui et que nous vivrons encore tous intensément au moins jusqu’à la fin de cette année 2021.
Le monde d’après comme nouvelle norme
Pour autant, malgré ces différends, Saturne et Uranus peuvent paradoxalement bosser ensemble. Étant positionnés dans des signes fixes (Taureau-Verseau), c’est même du lourd ! Quand ils sont main dans la main, ils se renforcent mutuellement dans leurs rares caractéristiques communes. Dans ces cas-là, ils ont légèrement tendance à devenir butés, obstinés, acharnés dans leur aveuglement. Ils ont même une certaine facilité à lorgner vers toutes les formes d’autoritarisme décomplexé ! Nous l’avions vu jusqu’à présent, notre têtu tandem peut ainsi se manifester comme un véritable bulldozer technocratique ayant comme seul objectif l’avancée de ses propres intérêts. C’est également pour ces raisons que face à ces multiples fractures sociétales (Saturne carré Uranus), le « système » précipite le déploiement de tout son arsenal technocratique. Il met tout en place pour éteindre toutes les possibilités futures de dissidence à son pouvoir. Toutes les réformes engagées aujourd’hui sont faites pour que tous ceux et celles qui n’accepteront pas les poncifs du monde de demain soient idéologiquement, financièrement et physiquement exclus (Saturne carré Uranus).
Dans leur société future, si l’on ne roule pas en véhicule hydrogène-électrique dans leurs magnifiques « villes intelligentes » (smartcity) avec son pass’ sanitaire vert pour aller à son resto’ vegan bio, si l’on n’est pas locataire de son logement techno-écolo et un hyper-connecté digital, si l’on ne fait pas du vélo dans son appart pour générer de la cryptomonnaie et récupérer une partie de son revenu universel, si l’on aime la culture de son pays et que l’on remet un tant soi peu en cause les grandes valeurs soi-disant humanistes de la pensée unique de l’IA dominante ou si l’on ose encore vouloir faire des enfants naturellement, on sera déclassé, banni, isolé, appauvri et peut-être même emprisonné, allons savoir vu au train où vont les choses ! Ce sera l’update du modernisme communiste affilié au progressisme mondialiste le tout sous le joug d’un néo technomessianisme « vert », hygiéniste, androgyne et apocalyptique (Saturne en Verseau carré Uranus en Taureau).
En soi, dès aujourd’hui, le consentement d’une liberté sous conditionnelle, l’acceptation de la prison sanitaire, la propagation de la psychose virale, les vaccins comme saint Graal d’une humanité anesthésiée ou toute sortes de nouvelles « laisses numériques » (comme le passeport vaccinal) seront les tickets d’entrée à leur futur monde totalitariste. En 2020, sous la coupe de Jupiter-Saturne-Pluton en Capricorne, le monde a été paralysé par la peur du virus (et finalement nettement plus par les mesures gouvernementales elles-mêmes comme les confinements, les masques…) et en 2021, dans le timing du carré Saturne-Uranus, cette peur est capitalisée au maximum afin de permettre à nos « maîtres » de franchir d’urgence les premiers paliers nécessaires à la construction de cette société de demain. Sans aucun doute, ce cycle permet l’élaboration de cette phase où une liberté relative (Saturne-Uranus) sera seulement réservée aux enchaînés de la doxa (Saturne) quand tous les autres seront marginalisés (Uranus). Ne l’oublions pas, Saturne représente la répression, la sélection, la doctrine et Uranus, l’indépendance, la rébellion, l’anticonformisme.
Pour le coup, Saturne en Verseau au carré d’Uranus en Taureau leur offre sur un plateau d’argent la possibilité d’accélérer le renforcement de leur pouvoir tyrannique sur les masses par l’exploitation entretenue de nos peurs : nos oligarques ont juste à agiter les différentes « menaces fin du mondistes » à la mode, que celles-ci soient elles-mêmes générées par ceux qui promettent d’en trouver LA solution ou non. Les mesures techno-satinaires dues à la COVID-19 (et maintenant ses variants) pour instaurer un état d’urgence sanitaire permanent et des campagnes de vaccinations perpétuelles ; la censure médiatique et le tracking technologique par les Big Techs dus au soi-disant fléau des fake news pour instituer un contrôle de la pensée ; les futurs programmes environnementaux draconiens dus au réchauffement climatique anthropique afin d’imposer la géo-ingénierie, le contrôle du climat, l’agriculture high-tech et le monopole de l’énergie ; les mesures de sécurité intérieures\extérieures dues au terrorisme afin de réduire encore nos libertés et étendre la surveillance des populations ; le prochain « Great Reset » dû aux méga problèmes économiques à venir pour rendre définitivement les peuples esclaves de la haute finance ; la promotion de la « cancel culture » due à un soi-disant racisme blanc endémique mais permettant de supprimer nos racines, notre histoire, nos repères, notre passé au profit de l’instauration d’une nouvelle idéologie sans genre, sans ethnie, sans origine mais unifiée sous l’égide des nouvelles normes sociales du NOM (Nouvel Ordre Mondial) ; tout cela va en ce sens. Pire. Tous ces rouages sont savamment imbriqués les uns aux autres afin de provoquer ce renouveau civilisationnel (Uranus) où nos « bourreaux » pourront étendre leurs « pouvoirs » et s’assurer obtenir une meilleure régence sur la vie qui règne sur cette planète (Saturne). C’est d’ailleurs cette sorte de reboot matriciel qui prend dorénavant de la vitesse en 2021 pour opérer ce virage en dérapage contrôlé du « vieux monde » (Saturne) au « nouveau monde » (Uranus). Nos maîtres n’hésitent d’ailleurs pas à attiser toutes les tensions « communautaires » à leur maximum (le jeune contre vieux, le noir contre le blanc, la femme contre l’homme, l’écolo contre le « mangeur de viande »…) pour faire diversion sur les véritables enjeux planétaires et ainsi « forcer » ce changement de paradigme.
Ainsi, s’ils souhaitent aujourd’hui accélérer leur calendrier en ce sens, c’est précisément parce qu’ils savent que leur « monde d’avant » (Saturne) arrive à son agonie sous la pression émancipatrice des peuples (Uranus). Mais c’est aussi et surtout parce qu’ils savent qu’il leur est dorénavant possible de remplacer une force de production humaine (Saturne) par la technologie de masse (automatisation, IA, robots,…) et que c’est ce qui leur permettra de réaliser irrémédiablement leur « monde d’après » (Uranus).
A leurs yeux, c’est même génial car « une ressource humaine », cela coûte cher à entretenir sur le long terme et puis, ça consomme, ça pollue, c’est finalement rapidement obsolète et c’est parfois difficile à canaliser quand elle a l’espoir d’améliorer ses conditions de vie ! Alors qu’un monde complètement artificiel, c’est pour nos oligarques beaucoup plus facilement maîtrisable, très rentable, hyper durable, ultra performant et so clean ! Le rêve pour Saturne en Verseau et Uranus en Taureau en « version déshumanisée » et cherchant l’optimisation parfaite de la technologie dans sa gestion des ressources planétaires. S’ils peuvent faire fi de l’humain, c’est champagne !
En soi, nous avons donc été bien utiles pour construire leur empire mais maintenant qu’ils vont bientôt avoir leur « cybergolem » fabriqué en série et que leurs désordres cataclysmiques vont potentiellement se retourner contre eux, nos gouvernants vont se prendre pour des dieux en nous sortant tous leurs « remèdes miracles » tout en nous culpabilisant que nous sommes à la source de tous les maux de la terre, que nous sommes trop de bouches à nourrir, que nous sommes plus que des parasites et des déchets du système, que nous sommes même des tâches d’huile sur leurs belles cartes postales du monde futur et qu‘il serait ainsi légitime que l’on se débarrasse de nous puisque « faibles et des fardeaux pour la planète » par rapport « à la machine » ! Le délire sarturno-uranien peut prendre des proportions dantesque dans la méprise de « ceux d’en haut, les élus, les grands de ce monde, les omniscients érudits en costard blanc » envers « ceux d’en bas, les incultes, les médiocres, les inutiles, les sans-dents, les anonymes, les hurluberlus« ! Comprenez pourquoi nos « élites », dont l’étendard Bill Gates en est le plus emblématique, ne se privent plus pour diffuser à outrance le spectre du réchauffement climatique, pour promouvoir la dépopulation mondiale, pour nous survendre des vaccins douteux (alors que nous savons qu’il y a parfois des liens suspicieux entre certaines vaccinations et un abaissement considérable de la fertilité) ou encore pour être finalement parfaitement à l’aise avec l’idée d’une décroissance globale et une certaine forme de démondialisation. Après avoir pillé sans fin les ressources terrestres, après avoir exploité nos corps et nos esprits jusqu’à la dernière goutte de vivacité et après s’être grassement enrichi sur le dos de tous, nos dynasties de marchands sont totalement prêtes à se laver les mains des conséquences de leurs actes et des dommages collatéraux magistraux qu’elles ont causé sur Terre pour enclencher leur quatrième révolution industrielle, celle qui ouvrira en grand les portes de « l’âge bionique » ou encore de l’homo roboticus. C’est qu’elles aimeraient dorénavant être tranquilles avec leurs androïdes, une planète qui « ronronne » et moins de populace incontrôlable à gérer ! Quand Saturne en Verseau appuie sur sa vision cyborg et qu’en plus son carré à Uranus en Taureau inhibe son empathie naturelle mais accentue plutôt en retour son besoin de contrôle sur le biologique et le sensible, c’est terrible !
Et le maquis de la résistance prit forme
Heureusement, Saturne permet l’occasion de dire « stop » là où Uranus veut aller à toute berzingue ! Pour une bonne part de l’humanité, Saturne en Verseau au carré d’Uranus en Taureau c’est a contrario la réticence à changer brutalement de société et l’opportunité de mettre un coup de frein à un progressisme débridé qui n’a absolument plus aucune limite. Pour elle, c’est plutôt l’impulsion à s’opposer à la formation de ce nouveau totalitarisme qui, de mois en mois, ne se prive plus de supprimer des pans entiers de nos libertés fondamentales. Les restrictions et les mesures sanitaires, la censure endémique de certains sujets ou encore la destruction de petits commerces au profit de « gros » marchands en ligne et consorts, l’étouffe, la muselle, l’écrase. Elle ne supporte plus cette proposition d’un « nouveau monde orwellien » où, sur la base de chiffres facilement manipulables et controversés, nous sommes traqués, surveillés, parqués, masqués, pucés et sans contact. Elle n’accepte plus que nous devenions tous des automates sous camisole chimique. Elle refuse un monde où l’humanité sera polarisée, avec d’un côté les « vaccinés » pouvant accéder librement à tous les services de la société moderne et tous les autres, les « anti-vaccinés », qui seront très rapidement marginalisés faute de ne plus avoir accès à la matrice. Elle dit non à la possibilité future d’une division entre homme diminué (Saturne) et homme augmenté (Uranus).
Pour elle, même si l’époque semble morose, défaitiste, désespérante et signe peut-être la fin d’utopies alternatives amenant à la plus cruelle des résignations (Saturne carré Uranus), l’époque reste malgré tout ouverte à cette brèche où peut s’unifier de par le monde cette nouvelle contestation fédératrice contre les tenants du pouvoir. Uranus, c’est aussi cet ouragan qui prend de plus en plus d’ampleur durant sa course, assoiffé de libération, et venant se fracasser contre les murs de l’Empire Saturnien. Aujourd’hui déjà, la guerre de l’information sur le champ de bataille numérique oppose d’un côté des empires techno-économiques colossaux (Big Tech, Big Pharma, Big Média,…) promulguant des idéologies intéressées comme vérités absolues et incontestables (Saturne) et, de l’autre, des poches de dissidents digitaux s’auto-organisant en réseaux alternatifs pour continuer tant bien que mal à s’exprimer librement sans muselière numérique (Uranus).
L’utilisation par l’oligarchie mondialiste de tous les moyens technologiques à sa disposition pour nous asservir et pour contrôler nos vies et nos corps jusque dans nos moindres cellules (Uranus en Taureau) face à ceux et celles qui sont criminalisés, humiliés, insultés sur la place publique pour avoir dit non à cette « cyber-Bête » (Saturne en Verseau), peut en réalité nourrir un terreau favorable à une sorte d’union sacrée d’une partie des peuples, sous une bannière fraternelle, sans différence de son prochain et faisant front commun contre un monstre prométhéen prêt à nous dévorer dans sa folie de toute puissance (Uranus). En cherchant coûte que coûte à faire advenir leur prophétie auto-réalisatrice, ces similis prêtres noirs de la technoscience autoproclamés oracles de malheur pourraient bien aller trop loin, trop vite et devenir un colosse aux pieds d’argile, s’écroulant sur lui-même du jour au lendemain. Pendant que des chiens renifleurs COVID-19 sont formés et que des infirmières sont arrêtées pour trafic de faux pass’ sanitaire, des centres de vaccinations commencent à être attaqués. Demain, qu’en sera-t-il ? Au lieu d’accoucher de leur Great Reset, ils pourraient alors en réalité brusquer le Grand Réveil. C’est parfois au bord du précipice, voyant en contrebas sa propre fin, quand tout espoir est perdu (Saturne), que l’on parvient, contre toute attente, à s’envoler vers les cieux (Uranus).
En ce moment même, et pour au moins les deux ans à venir, nous sommes à la croisée des chemins, au cœur de toutes ces batailles, au carrefour de toutes ces confrontations, comme jetés en plein milieu de toutes ces oppositions. Nous sommes peut-être plus « tiraillés » qu’auparavant entre ces différents flux d’énergie car la matrice a accéléré ses process’ nous obligeant à nous polariser davantage. Alors, nous laisserons-nous endormir par les sirènes hyperprogressistes du « modernisme » ? Resterons-nous piéger par les solutions « miracles » de nos bourreaux alors qu’ils ont eux-mêmes générer\récupérer ces menaces fin du mondistes afin de nous esclavagiser ad vitam æternam ? Ou allons-nous nous lever et entrer dans une nouvelle résistance ? Voulons-nous vraiment de leur « monde d’après » ? Voulons-nous devenir des machines et précipiter malgré nous la fin de l’humanité ? Comme nous le montre ce Saturne au carré d’Uranus, il faut parfois savoir occasionner des ruptures quand certaines choses vont trop loin et pour évoluer de nouveau d’un façon plus saine. Parfois, il faut reculer pour avancer. Parfois il faut abandonner des idéaux pour s’en créer de nouveaux. L’idéal de nos élites n’est-il pas notre propre chute ? Allons-nous enfin y mettre fin pour laisser place à de nouveaux possibles ? Le momento Saturne-Uranus est ce pivot difficile entre les époques mais de quelle manière souhaitons-nous nous servir de ce tournant ? Profiterons-nous de tous ces tremblements conflictuels dans la conscience collective pour faire émerger un éveil planétaire ?
Nos choix et nos non-choix, actuels et prochains, impacteront plus que jamais les lignes temporelles futures de ce « monde de demain ». Soyons donc forts, soyons courageux, soyons déterminés dans ce que nous n’acceptons plus. Et soyons-le tout autant pour nourrir et réaliser notre vision de l’avenir…
Poursuivez plus en avant ce dossier « Saturne-Uranus » dans ce méga-bilan 2021 et les prospectives pour 2022 et 2023 :
* Première partie : https://www.cinquiemesoleil.com/blog/2021-2022-carre-saturne-uranus-1/
* Deuxième partie : https://www.cinquiemesoleil.com/blog/2021-2022-carre-saturne-uranus-2/
* Troisième partie : https://www.cinquiemesoleil.com/blog/2021-2022-carre-saturne-uranus-3/
* 2022-2023 – Bilan final du carré Saturne-Uranus : https://www.cinquiemesoleil.com/blog/2022-2023-carre-saturne-uranus/
Les articles à lire ou à relire dans le même genre :
Guillaume Cosnier – Tous droits réservés sur le texte.
Bonjour Guillaume, ton décryptage d’une réalité commune au moyen de l’outil astrologique énonce une histoire plus large que les vues partisanes des acteurs institutionnalisés mais aussi de celles de certaines de leurs critiques les plus virulents. Cette histoire est ouverte et invite chacun a s’y fondre en intégrant les éléments qui la constituent et en alliant et conciliant cryptage du monde et vibration énergétique. Merci pour tes lumières.
Merci c’est très complet. Toute chose dont nous avons déjà une grande conscience.
J’aurais aimé avoir un éclairage sur les ouvertures, même ôtrès incongrues ou originales, que propose la configuration astrale. Comment agrandir la faille?
merci Guillaume. Super analyse avec ce qu’il se passe actuellement dans ce monde chaotique et bouleversant. Le combat entre le nouveau et l’ancien. L’espoir d’un retour aux sources, à la vie simple. L’abandon de la futilité et de la consommation excessivestérilisant nos neurones et nos esprits. N’oublions pas non plus le rôle mystique de Neptune en Poissons, sans tomber dans les « religiosités » mais vers des qualités de coeur, de compassion et d’esprit évoluées vers l’humanisme, Saturne ne restera que 2 ans et demi en Verseau et rentrera en Poissons en mars 2023. Ce sera à nous de faire les bons choix et de choisir le bon camp.
Excellent. C’est exactement cela. Plutôt du côté de l’éveil que du RE-SETH (lire Christian Nots sur Mitterrand, le sethien qui se prenait pour SETHIS premier)…Lire Johan DREUE. Certains s’imaginent qu’on ne peut aller que de l’avant (Prométhée). C’est oublier qu’une momie égyptienne datant de plus de 2000 a bénéficié de traitements chirurgicaux de haut niveau. Alors qu’au moyen-âge ont allait voir l’arracheur de dent en pleine rue. La roue tourne…. mais jamais en progressant. OUROBOUROS: vie-mort. INSPIR-EXPIR. Covid, maladie du souffle. Regardez les vidéos d’Annick de Souzenelle..
Nous verrons ce qui se passera au moment de l’entrée de Pluton en verseau. Mars 2023. Pluton c’est la justice immanente. La destruction des bases qui sont fausses. En capricorne, les socles que nous pensions immuables se sont effondrés. La science remise en question, les institutions étatiques qui ne génèrent que méfiance, l’image du « père » qui s’effondre (Kouchner,et autres,figures mythiques…(verticalité saturnienne). A suivre. L’illusion de la fraternité risque-t-elle de s’écrouler???
Dans la Grande Perspective du « besoin d’un Reset » pour mieux nous dominer via les hommes de l’ombre est de nous montrer à quel point ils sont primaires mais nécessaire à nous tous pour ne plus aller expérimenter cela demain. Il suffira de voir le travail en profondeur de Pluton qui durera 25 ans en Scorpion et visiter 249 ans en arrière pour avoir une aperçu d’une révolution mais de conscience cette fois ci !
Pour savoir ce que l’on veut, il faut expérimenter son contraire sinon comment savoir faire le « bon » choix. Voici la Grande Dichotomie de la vie.
Bien sûr, née à côté de la Basilique Saint-Hermès en Belgique je connais l’alchimie des contraires. Macron serpent de feu, Brigitte serpent d’eau. ET voilà notre Caducée. Caduque ou non. A suivre… L’opposition de son uranus de naissance avec l’actuel: cela doit tanguer dans sa tête. J’ai analysé son thème astral: double comme le personnage… Etant proche des Nyssen…
Bonsoir Guillaume je te remercie pour tes articles . J’ai l’impression que je me réactualise en te lisant . Tu ouvres en moi de nouvelles perspectives… je comprends mieux ….
J’aime beaucoup cet article sur Saturne Uranus et cette manière que tu as de donner corps à ce transit tellement fort en lui donnant échos dans l’actualité. Tu nous traduis le monde merci de ta lucidité que j’apprécie.
.